1. C’est la seconde fois que la belle Copenhague, la capitale du Danemark, est méchamment attaquée par les Anglais ! La première fois, c’était quand ?
a En 1801
b En 1803
c En 1805
d Mais non !
2. Pourquoi les Anglais s’en prennent à Copenhague ?
a Ils avaient des boulets en trop !
b Ils se vengent ainsi des anciens raids vikings !
c Ils ont la crainte que la flotte danoise se joigne à la flotte française !
d Ils ne veulent plus voir de vaisseaux avec des drapeaux presque semblables aux leurs !
3. Quel amiral commande en chef la flotte britannique ?
a Gabin
b Grangil
c Jambier
d Gambier
4. Un général l’accompagne avec plus de 15.000 soldats embarqués !
a Picton
b Moore
c Cathcart
d Uxbridge
5. L’officier-architecte Peymann commande la défense terrestre de Copenhague avec moins de 8.000 hommes et des fortifications mal préparées. La flotte danoise est sous les ordres de :
a Bille
b Calot
c Micado
d Flechette
6. Le 16 août, les Anglais débarquent à Vedbaek et cernent Copenhague. Devant le refus de se rendre de la part des Danois, ils commencent le feu. C’est le jour anniversaire de la bataille d’Actium !
a Le 28 août
b Le 30 août
c Le 2 septembre
d Le 4 septembre
7. Les Anglais débarqués à Koge, sous les ordres de Wellesley, le futur duc de Wellington, écrasent les Danois qui fuient en abandonnant :
a Leurs cornes
b Leurs coques
c Leurs sabots
d Leurs sabords
8. Les Anglais bombardent la ville pendant quatre jours. Les destructions sont invraisemblables. Le feu se communique à des tas de bâtiments importants. Les Anglais tirent même :
a Des fusées
b Des drones
c Des missiles
d Oui, tout ça !
9. Finalement, Peymann capitule. Les Anglais victorieux entrent dans la forteresse de Copenhague et s’emparent de toute la flotte ! Ils ont perdu 200 hommes. Et combien de Danois sont morts ?
a A peine 50 personnes
b 200 soldats et 2.000 civils
c 3.000 soldats et 10.000 civils
d C’est encore interdit de le dire !
10. Copenhague a reçu environ 15.000 boulets. 1.500 maisons sont bousillées. Il n’y a plus de marine ni de puissance. Et la finance va s’en ressentir. Du coup, le Danemark se range résolument :
a Derrière le tzar russe
b Dans le camp prussien
c Aux côtés de Napoléon
d Du côté de chez Swan !